Le Boyau de la mort (Suite Event)

Oooh, si Packo ta fait aventurer sur un lac à moitié geler...Voilà que celui-ci t'amène dans une bien étrange grotte et sans penser au conséquence, le jeune carlin s'aventure dans un boyau à peine plus gros que son ventre. Tu n'est vraiment pas fan de l'idée de pénétrer dans un aussi petit endroit, déjà que tu n'a jamais été fan de partir à l'aventure...

Il n'est jamais trop bon de ce le faire souvenir : mais c'est vraiment la pire de tes idées d'avoir suivie un carlin en pleine hiver ! La prochaine fois, reste dans ce café !

- P...Packo ! Je, ne pense pas rentrer....

Dis-tu, alors que très clairement ce n'est pas ta grosseur le problème. Si Packo, qui est plus large que toi, entre, nécessairement tu peut y entré aussi! Seul le bout de tes oreilles touchera un peu au plafond, ce n'est pas si pire ! En fait, tu n'a simplement pas envie d'emprunter ce chemin...

Le hamburger sur patte s'infiltre avec difficulté dans l'étroit passage, essayant de te rassurer. S'il avait un don pour penser qu'au présent, tu aimerais bien qu'il réfléchisse un peu plus au future. Passer le lac était une chose vraiment débile, tu as risqué ta vie pour passer de l'autre côté! Sous ton poids la glace aurait très bien plus céder et sans issus tu serais tombé dans la flotte! Pourtant, sans Packo tu n'est pas tomber...Tu n'approuves peut-être pas la sécurité de ses activités, il faut dire qu'il ne ta pas blesser encore.

Contrairement aux humains, que tu croyais si gentil.

- Je...Mh, d'accord.

Tu n'est vraiment pas convaincue que ce soit le meilleur chemin (surtout vue la difficulté des bourrelets du carlin à se frayer un chemin) tu viens à pas de loup t'approcher du boyau. Avant de t'y glisser lentement. Suivant de près l'arrière-train de Packo.
Tu te sens si coincé, enfermer, prisonnier...Et pour ne rien aider, ton regard doré analyse les parois de terre: te rendant compte que tu ne peux même pas faire demi-tour...

- P..Pa...Packo, je vais faire de l'hyperventilation...C'est trop étroit...

Fini tu par te plaindre...

Étrangement, les paroles de Packo ne réussi vraiment pas à te faire apprécier la situation étroite dans laquel vous vous êtes mit. Le fait de ne pas pouvoir ce retourné avec aise t'angoisse, l'idée qu'un danger proviens vers l'avant te donne des frissons de terreur. Comment tu fera pour rebrousser chemin ?!!

- J...Je me sens plutôt comme ...Un tube digestif qui à besoin d'être évacuer....

Dis tu, timidement en essayant de regarder ailleurs. Ton museau collé à l'arrière-train de Packo n'a rien d'amusant...Puis...Les ennuies commence...

- Oh-oh... Ti ens, moi aussi je me sens tout bizarre, maintenant que tu le dis...Lâche t'il, suivie d'un gargouillement peut rassurant venant de l'estomac du Carlin...Aston, tu écarquilles les yeux pris de panique.

- Non! Non pitié! Mon museau est juste derrière toi ne te relâche pas !

Comme si ce n'étais pas suffisant.Tu entends des bruits de pas s'approcher...Pas qu'un seul bruit de pas, mais des dizaines! Voir des centaines! Tu viens te coucher au sol, observant sous les pattes de Packo. Dans la mince ligne de mire que laisse son ventre près de toucher le sol. Des rats s'approches à grande vitesse de toi et ton compagnon !

- PACKO !! O...ON VA MOURIR JEUNE !

Hurle tu, absolument terrifier à l'idée de finir ta vie ici, comme repas pour les rongeurs ! À peine tu as le temps pour t'affoler que ceux-ci sont déjà à ta hauteur, bondissant sur tes pattes dénuder de poil. Glissant sous ton ventre et celui de Packo. Les moustaches tordues frétillantes, chatouillant ta peau alors que leur queue de rats crasseuses se frotte contre toi...

La situation dégénère rapidement, Packo avait un plan B ?! Pendant un moment tu croyais pouvoir te sauver du pétrin, réellement. Avec un super Plan, Packo pourrais te sauver la vie!
N'oublie pas que Packo reste le même gros et gras pug que sur le lac...

Alors, lorsqu'il hurle "on recule", tes espoir tombe aussi vite qu'il était venu.

Les rongeurs essais de sauté sur ton dos, s'accrochant à ton manteau d'hiver. Certains on même commencer à ronger tes chaussettes d'extérieur! Tu piétine sur place, incapable de reculer vers l'arrière de peur d'écraser la queue d'un des rats qui ce faufile sous toi.

- Pa, PACKO! J...JE NE PEUX PAS! NON JE NE PEUX PAS RECULER !

Le grincement de leur dents, leur fourrures grasses contres tes jambes dénudée, tu as beau grouiller dans tout les sens pour essayer de te débarrasser de leur présence près de toi! La peur est trop présente pour que tu puisse reculer rapidement pour sortir de là. De peur de sentir le corps frêle de la petite bête s'écraser sous ton poids...Bref, tu n'arrive à rien! Même pas à bouger le bout de ta queue!  Leurs petites griffes commence à l'acérer ta peau, alors qu'ils tentent de grimper sur toi. Te paralysant de peur. Peur d'être dévorer vivant, sans pour autant être capable de te défendre. Légèrement pathétique, n'est-ce pas?

- A-Aston! Vite, recule! Ils attaquent mon harnais!!! Vite, VITE!!

Les hurlements de Packo et ses couinements t'angoisse encore plus. Ton coeur se met à battre à la chamade, tu est certains que tu vas devoir y laisser ta peau ici.


- JE NE PEUX PAS JE TE DIT! ....Ouhaach! Oh non...Tes sérieux?!

Tu te mes à tousser, incapable de trouver ton air...Enfin, de la bonne air! De l'oxygène pur, respirable et qui ne sent pas mauvais ! La flatulence de Packo te monte dans les naseaux, sa puissance est telle que tu pouvais presque y goûté sur le bout de ta langue. C'est infecte, comme odeur, bien plus pire que des poubelles, de la moisissure ou les vieilles chaussettes d'un sportif. Cette odeur te donne envie de vomir!

- PA...Kof-kof...PACKO! JE.. J'ÉTOUFFE! Kof-kof !!

Quel fin minable tu auras Aston....Dévoré vivant par des rats, dans un tunnel étroit qui sent la mort à cause de Packo. Aucun humain ne pourra te retrouver, pleurer ta mort...
De toute manière, qui pleurera ta mort ? Tes maîtres ton lâchement abandonné dans un parc loin de chez toi. T'effaçant de leur vie comme une marque de craie sur un tableau...Tu as envie de tout laisser tomber, de t'avouer vaincu. Que les rats te dévore ! Tu t'en fiche!

Mais la réalité est tout autres. Ce sentiment, que tu avais ressenti face aux crocs acérées du Malinois, tu t'en souviens? Cette envie de vivre, battant si fort dans le creux de ton ventre...Eh bah ce battement cogne très fortement dès qu'une douleur à ta patte arrière ce fait sentir...

Tu lâches un couinement de douleur, sursautant vers l'avant. Voyant qu'une de tes pattes arrière est désormais dénuder : les rats avait déchiré, mordu et arracher ta chaussette d'extérieur. L'odeur de la flatulence de Packo les avaient énervés d'avantage, devenu complètement fous de rage. L'adrénaline provoqué par la douleur ne te fais pas remarquer le saignement de la blessure, d'ailleurs tu ne remarques même pas la morsure. Au moins, la souffrance te fais oublier l'odeur abominable du pet.

- Okay... Okay! A-Aston, pas de panique! On passe au plan C, alors. C'est à dire on fonce tout droit le plus rapidement que l'on peut. T'es prêt?

Hey misère...Un plan C ! Le plan "Cours" !!

- Packo! On va mourir, on va mourir....Je ne veux pas mourir....

Pleurniche tu, complètement effrayé en voyant les dizaines, les centaines de rats s'attrouper autours de vous deux. Le bruit des griffes glissants contre ton manteau t'arrachais des tremblements insupportable et chaque fois qu'ils plantaient leur petits dents dans ta chair tu sursautais de plus belles larmoyant de douleur. Chaque sursaut emporte avec toi les rats lâchant prise sur toi, rebondissant contre les paroies du boyau avant de revenir à la charge.

- Courage mon ami, je sais que nous pouvons y arriver! Tu n'as qu'à me suivre, je te promets que nous allons en ressortir vivant!

- NE ME PROMET RIEN!! Aïe !! P..Packo !! Pourquoi aller de l'avant quand on peux simplement aller vers l'arrière! Aïe !!

Toujours négatif, ce Aston! Mais ta frustration envers Packo est justifiable...Malgré tes paroles, tu ne peux pas t'empêcher de le suivre tout de même... La douleur que provoque les rats commence petit à petit à te rendre furieux. Dans un élan de fébrilité, tu te secoues rigoureusement, décrochant les petites bêtes de sur ton dos. Avant de faire une grande enjamber pour rattraper Packo, écrasant sur ton passage plusieurs rongeurs...

- HAAA! J'en ai piétinés !!

Un mélange de dégout, de terreur et de chagrin...