Incarnez un chien dans un camp des Pyrénées, qu'il soit de pur-race ou bâtard !
 
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

Alexandre Mallet - Saisonnier habitué du camping

 :: Personnages :: Présentation des personnages :: Présentations des PNJ
Sam 11 Avr 2020 - 15:37
© Arrogant Mischief sur Never Utopia
Alexandre Mallet

« Ne pas avoir le temps de se poser de questions est peut-être un gage de bonheur. GL »


۞ NOM : Mallet

۞ PRÉNOM : Alexandre, mais tout le monde l’appelle Léandre

۞ AGE : Un peu plus de la vingtaine  

۞ SEXE : Masculin

۞ PROFESSION : - Saisonnier sur le camping l'été -

۞ TAILLE : Plutôt grand, sans être immense

۞ APPARENCE : Léandre est un jeune homme à la carrure plutôt svelte et sèche, acquise avec sa bougeotte permanente. Sa peau est hâlé et son visage parsemé de petites tâches de rousseurs, tandis que ses cheveux relativement court s'expriment dans un noir ébène.

۞ YEUX : Ses yeux sont d'un marron des plus banales, mais brillent toujours de cette lueurs chaleureuse.

۞ AUTRES : Il est très proche de son petit frère.

MENTAL & CARACTÈRE

Que dire de ce chère Léandre ? Enfin la véritable question serait, par où commencer ? Son sourire chaleureux ? Son caractère en or ? Sa bougeotte éternel ? Et oui, tout ça appartient à la même personne : notre chère Noireau.

Celui dont le sourire, aussi idiot puisse-t-il être (au grand désarroi de Marco) ne quitte jamais le bout des lèvres, sans que ce soit une expression : le jeune à un caractère jovial et joyeux de nature, toujours là pour assurer une boutade et remonter le moral à ses potes. C’est le mec heureux du groupe, p’être un peu con mais heureux ; lui-même le sait pertinemment, sans que ça le dérange, au pire quoi ? On le prendrais pour l’idiot pitre du camping ? Bha c’est pas tout à fait faux après tout.

Alexandre, c’est LA personne enjoué et positive, c’est celle que vous croisez au coin de la rue et dont la première pensez qui vous viens ressemble à « J’aimerais bien être son pote ». Et puis, les traits positifs ils les cumulent, agréable et polie de par ses origines, il sait être à l’écoute de quiconque en à besoins, et encore plus il est toujours prêt à passer un coup de main ; son emploie du temps en deviens un carnet ministérielle, n’oublier pas de prendre un rendez-vous !

Et le pire, c’est que ça lui plait à lui, de bougez sans cesse, de toujours voire des gens, des têtes nouvelles ou pas ; la définition même d’extravertie. A le suivre dans une journée, on aurait presque l’impression qu’il ne dort jamais, surmené comme il est : m’enfin ça il compense surement avec la nourriture, à voire les assiettée qu’il prend au restaurant du camping ( Au grand Damne du cuisinier qui frissonne et sort le cadenas juste à l’entente de son prénom). Mais il en faut pour vivre une belle et grande journée, des réserves dans le ventre…

Notre p’tit gars est en plus animateur saisonnier dans le camping depuis quelques années, partageant sa joie et ses idées avec les plus fidèles des campeurs comme les plus récents ; à vraie dire il était fait pour cette tâche ; son énergie, son sourire… Et sa patience, où son idiotie, à votre guise de choisir, mais il en faut énormément pour ne serait-ce que le froisser ( Même le cuisto n’à pas encore réussi, malgré ses nombreuses tentatives…). C’est que c’est un bon bougre !

Puis plus communément, il à aussi ses moments de calmes, souvent passé coucher dans son lit avec son chiens à réfléchir à de stupides chose où à essayer de lui parler de bon cœur. Ouai, sa vie est belle parce qu’il est le mec bien à qui il ressemble…

HISTOIRE

Père Léandre, raconte nous une histoire !

-> Une petite vie de roi

Petit Alexandre Mallet est né dans une famille, comment dire aisé ? Très aisé pour le dire plus clairement. Ce genre de famille qui à une petite maison forte confortable, et puis une résidence à la mer et une autre à la montagne, et un bateau, j’allais oublier le bateau ! Ses parents ont réussis dans la vie avec une entreprise « familiale » qui à percer, mais aussi, disons-le nous des fonds de départs assez important. Mais cela n’éteint pas pour autant le succès de leur propre travail… Enfin ça Léandre s’en fou pas mal : il sais très bien qu’il est privilégié mais ne veux pas en faire une force : c’est un gamin qui s’habille simplement (remarque possible que dans ce sens), farceur dans l’âme et gentil avec les autres, ce qui gomme un peu l’image du fils unique à papa et maman. Il s’est toujours comporté de la sorte ; joyeux, blagueur, à la limite du farouche.

C’est en grandissant qu’il se passionne pour les animaux, obtenant son premier petit toutout alors qu’il ne savait pas courir correctement ; ce compagnon, un springer lui donnera l’amour des canidés mais aussi des chiens d’arrêt. Un peu plus tard viendra au monde son petit-frère, qui au désarroi des parents ressemble beaucoup à Alexandre, ayant hérité du gène « connerie ». Ils s’amuseront tout trois (y compris son petit frère) et passerons des journées entière à écrasé le beau gazon et les belles fleurs pourtant si bien entretenue…

-> Entre montagne et mer

C’est en grandissant qu’il fabriqua  ses premiers souvenirs ; les premiers châteaux de sables, les vagues qui l’engloutissent, son frère à terre ayant remarqué la scène…  Ils voyageront beaucoup entre leurs trois propriétés, allant régulièrement voire les vagues lors des saisons chaude, visitant les montagnes recouvertes d’une fine pellicule blanche lors des temps froids.
Il est chanceux, il le sait. C’est à cette période qu’il construit et nourrit une relation toute particulière avec son chien et son frère (oui dans cet ordre) ; ils sont inséparable et tel de petits roublards passe leurs temps à explorer ce qui les entourent ; dangereux où non il tentent, revenant parfois avec les genoux écorchés mais toujours avec un sourire immense aux lèvres.
Et le temps passe, il fait son effet : après mainte années à ses côtés son petit springer le quitte  définitivement. Alex est plus vieux comme son frère, mais la peine n’en ai pas moindre. Pendant un long moment ils ne sortent plus, le trio ayant disparue, oh, les frères restent soudés, mais c’est différent… Qui essayerait de leurs mordiller le derrière maintenant ? Qui les réconforterait lors des chutes ? Qui les ramènerait à la maison s’ils se perdent ?

Puis un nouveau monde s’ouvrent à eux ; avec l’âge et les études il se dégagent plus de temps, ressortent tous les deux et finissent, lors d’un jour de pur hasard, par tomber sur un refuge non loin de leur maison principales : l’association quelques peu récente, recherche des bonnes âmes pour balader ses résidents, dans l’attente d’un nouveau foyer. Alors les frères s’en donne à cœur joie, ils viennent presque toute les soirées et occupe les animaux qui viennent et vont.
Ils jouent avec, les promènent, passe du temps là-bas et aide même bénévolement les employé pendant les saisons délicates… Il se font des amis et y passe désormais tous leurs week-end, créant la fierté de leurs parents, heureux de les savoirs aussi bienveillants et attentionné, comparé à autre fois.

Parallèlement, Léandre développe une envie d’évasion, partir d’ici, de cette maison, s’évader pas loin, non mais s’évader. Il cherche à bouleverser ses habitudes et changer son quotidiens ; alors qu’il atteint sa majorité l’envie de la montagne l’attrape ; et s’il allait visiter un petit coin au pif ? Et c’est ainsi qu’il tombe sur un petit nom : Orcière-sur-Val, un joli village rustique, des montagnes majestueuse, une population inconnue… Une nouvelle envie nait en lui ; y passer un été.

Il y passe donc une première saison, aidé de ses parents, un deal entre eux : il peut partir mais doit subvenir lui-même à ses besoins. Après réflexion (façons de dire qu’il à accepter dans les deux minutes suivant la discussion), il trouve un petit camping où aller, et par la même occasion un job à celui-ci ; animateur saisonnier, avec tout les avantages dont un employé bénéficie évidemment. Il postule et est reçu : le job lui colle à la peau, et son petit frère le rejoins début aout, pour « s’assurer «  -requête de parent profitant du petit frère qui s’ennuie- que tout ce déroule bien.

Et c’est ainsi qu’il tomba sous le charme totale du petit coin, son paradis à lui. Il aime tellement y aller, que sobrement, ses parents lui offre un mobil-home sur le lieu-dit, afin qu’il puisse s’y rendre à sa guise. Pour une fois il est ravie de cet avantage et devient rapidement une des têtes récurrentes (la sienne et celle de vous savez qui) du camping. De plus il continue à y travailler lors des saisons, et au contacte de Pierre, l’aide à sortir les pensionnaire les plus calmes durant ses nombreux week-end de résidents.

Le tout jeune homme est charmé par ses nouvelles aventures, occupé entre camping et association, remettant la tête dans les cahiers -enfin son pc- de temps à autre afin de s’assurer tout de même son avenir. Quelques années se déroule de la même sorte, jusqu’à un bouleversement inattendue…

-> Un  nouveau compagnon

C’est au début du printemps, qu’une nouvelle tête fait son apparition au refuge; le climat pas encore assez clément retient les jeunes à leur maison, enfin plutôt à l’association. Le balai continue d’arriver et de départ reprends doucement avec les fêtes passés, les gens se rendant compte qu’un animal, ça mange, ça boit, ça vie et ça demande de l’argent. La plupart des nouveaux sont relativement jeunes ; l’activité reprends des plus belles, malheureusement.
Un matin frais, un pensionnaire encore inconnue arrive ; il est beau, de pure race, ses yeux brillent. Ho, une profonde tristesse occupe ses prunelles et Léandre curieux de voir la tête du « Newbi », pars tranquillement au boxe 45,  du « Newbi », pars tranquillement au boxe 45 ; devant celui-ci est posé la plaquette : « Marco, setter anglais lemon, 5 ans. » rien d’autre. Il remève alors les yeux, entraperçoit le chien, et remarque un léger détails : celui-ci l’observe avec minutie, debout sur 3 patte ?

Le chiens n’à que trois pattes… En effet l’arrière gauche laisse place à un moignon, comblé par le vide. Un contacte visuel plus tard, l’humain fait demi-tour ; quelques chose au fond de son cœur lui indique qu’il ne peut pas se permettre de laisser le toutou comme ça. Rapidement il aborde le chef des soigneurs et en quelques minutes un accord est placé : il devient le parrain de Marco, en attendant du moins que celui-ci puisse être adopté. En un coup de fil  à ses parent, tout un processus est mis en place : le chiens aura une prothèse, aussi onéreuse puisse-t-elle être.

Bientôt, Marco devient équipé d’un petite structure de métal et plastiques léger, lui permettant de se mouvoir plus librement qu’il le faisait jusqu’à là. Le chien montre quelques signes de joie léger, avant de retourner dans son éternelle air blasé, ce qui n’empêche pas Léandre de lui passer visite à chaque fois qu’il peut.

Un début de relation nait : le jeune homme sort souvent son protégé, il lui donne même à manger quand il peut et essaye de lui faire plaisir régulièrement, mais l’animal semble rester de marbre face à toute cette attention, ce qui mets en doute l’ébène ; et si simplement Marco ne l’appréciait pas ? Après tout eux, marche beaucoup à l’instinct, et s’il ne l’aime pas, il ne l’adorera pas plus avec le temps.  

Un soir de questionnement, Alexandre fait un dernier tour avant la fermeture des portes : de discussion, en discussion tout le monde approuve son idée de prendre le chien, ses parents ont affiché un sourire d’encouragement et son frère lui a dit de foncer – avec un coup dans l’épaule - ; mais si le canidé n’était pas okay, ça serait con nan ? Il souffle, puis décide d’aller de « foncer » vers son box… Il y trouve un Marco endormis dans son panier rustique, qui à son l’arrivé super discrète – ouvre les yeux, somnolent encore à demie, et l’accueil d’un battement de queue faiblard.

Rien de plus, mais Léandre est aux anges ; un signe de joie ? Lui ? Le lendemain les papiers son signés  et après des jours aux abords infinies, Marco emménage chez lui ! Chez LUI !

-> Maintenant…

Et voilà six mois qu’ils se côtoie désormais, Léandre à encore l’impression qu’il vient tout juste de l’adopté, mais pourtant une relation plutôt forte s’installe entre eux, une confiance solide établie peu  à peu. Ils partent souvent au camping ensemble et y son aider par Pierre dans la recherche d’un terrains d’entente ; ils commencent aussi à travailler sur la phobie qu’entretiens le tachetés pour les engins à deux roues.  

EN BREF
Si je devais faire le point, maintenant après avoir rédigé tout ça, je dirais que les deux compères formes un jeunes Duo ; ils ont encore pleins de chose à découvrir ensemble, ainsi que l'un sur l'autre... Une évolution sur les phobies de Marco pourrait aider à créer un lien encore plus fort, mais pour ça, il y à le temps ! Affaire à suivre !
Revenir en haut Aller en bas
Maître Scénarii
Grand Maître Absolu et Tout Puissant
Maître Scénarii
Maître Scénarii
https://mountain-camp-dogs.forumactif.com
Messages : 72
Date d'inscription : 10/07/2018
Maître Scénarii
Page 1 sur 1
Sauter vers: