* Aujourd'hui, tu ne te sentais pas bien du tout. Les aboiements intempestifs, les grincements des grillages des enclos, les portes qui s'ouvres et ce refermes, les allées et venus des humains et des autres canidés dans le corridor. C'étais sensé être devenu ton quotidien et pourtant tu reste toujours aussi nerveux face à tout ce vacarme. La présence des autres chiens te rassure certes, mais tu n'es jamais prêt lorsque Shawn reviendra te faire visite dans ton enclos. Ton état ne c'est pas empiré, mais disons que ta relation avec l'humain ne c'est pas amélioré comme l'éducateur canin le souhaiterait. Tu as l'impression que bientôt, tu vas craquer et faire quelque chose de mal...Comme tu la fais de si nombreuse fois chez toi, lorsqu'elle était absente de la maison. Seul avec celui qui te hurlait constamment dessus. Tu essais probablement de comprendre pourquoi ce Shawn est gentil avec toi, cette situation t'angoisse parce que tu ignore quand il va te hurler dessus. Quand? Comment? Pourquoi? Tu n'arrête pas une seconde de te demander lorsque tu fera un autre échec et que l'on te qualifiera de "mauvais chien". Tu devrais essayer de respirer un moment. Arrêtes de te poser autant de question...
Tu entend la porte, puis le tintement du métal de la porte de ton enclos s'ouvrir. La voix de Shawn te fais presque sursauter.
''Aston, mon grand!'' A t'il dit avec douceur. T'avertissant de sa présence comme il en a l'habitude désormais. Il ne démontre aucune forme de domination envers toi et pourtant tu rabaisse les oreilles et reste à ras-le-sol. Il s'approche patiemment comme à chaque fois, venant mettre ton large collier et ta laisse. Tu es encore craintif, mais tu reste docile. Tu crois qu'il viens te chercher pour une balade habituelle. Pourtant, une fois attacher, celui-ci ne sort pas de l'enclos comme à ton quotidien. Il t'arrête dans l'espace qui est tiens pour te sortir de ta niche. Shawn souhaite prendre soin de toi... Il fait chaud et puisque tu n'a pas de poile les hommes doivent veiller à ce que tu reste bien hydraté s'ils ont l'intention de t'exposer longtemps au soleil. Aujourd'hui, avec ce temps ensoleiller et chaud. Si Shawn ne prend pas soin de mettre de l'huile de coco sur ton corps, tu risque de prendre chère face aux rayons du soleil. Il vient donc doucement essayer de te masser le corps avec l'huile de coco, tu reconnais bien l'odeur. Elle utilisait la même chose, tu te léche même le museau en reniflant cette agréable odeur. Avec hésitation, tu viens faire battre ta queue un instant.
Jusqu'à ce que Shawn pose sa large main sur ton garrot et y frotte doucement ta peau. Enduisant ton corps de l'huile avec prudence. Ton enthousiasme ce perd rapidement et tes membres ce raidisse subitement. Shawn le ressent et arrête son mouvement, il cherche à corriger ton problème. Quand tout à coup, d'une rapidité qui le surpris, tu bondit vers l'avant la queue entre les pattes. Les mains enduits d'huile de coco la laisse lui file entre les doigts. Souhaitant rattrapé celle-ci à tout pris en voyant que tu approche de la porte de l'enclos non fermé, il trébuche sur le bol d'eau. Le bruit métallique contre le sol mène un tintement désagréable qui t’effraie d'avantage. Sans te privé, gouverné aveuglément par ton instinct de survie tu pousse la porte de l'enclos avec ton museau et t'évade à grande enjambé! Normalement tu aura du faire face à la prochaine porte du corridor, mais au même moment quelqu'un l'ouvre et tu ne te prive vraiment pas pour glisser entre ses jambes pour te faufilé de l'autre côté à en perdre l'haleine. Tu cours ici et là, perdu dans ta folie. Les "Hey!" et "chutchut" que te fond les éducateurs canins n'arrive pas à te calmer. Chaque mouvement que fais les uns et les autres pour essayer de te ralentir ou t'attraper ne fais qu'accentuer tes craintes envers eux.
Que fais tu?! Tu as perdu la tête!? Aston... Ne reviens jamais vers les hommes, ils vont te grondé et te faire payer pour ce que tu as fais...
C'est ce que tu crois, la vérité est qu'ils on bien peur qu'il ne t'arrive quelque chose de grave. Ça, tu ne le comprend pas encore, tout les hommes ne sont pas mauvais...
Tu cours et tu ignore vers où tu vas. Néanmoins, l'herbe sous tes pattes devient plus fournis. L'asphalte disparaît peu à peu pour laisser place à la terre et les végétaux. Y'a plusieurs petites habitations ici et là, des tables à pique-niques, des bipèdes avec leur compagnons à quatre pattes. Tu sais vraiment pas sur quel lieu tu es tombé, ta simplement suivis ton instinct. Tu ne viens pas te mêlé à la population, tu continue de courir quelques mètres encore pour venir te réfugier sous l'un des gros buissons en retrait de tout le monde. Tu t'y glisse en rampant, espérant avoir échapper aux hommes qui souhaite te faire du mal. De tes yeux ambre, tu regarde autours de toi d'un air inquiet pour t'assurer qu'aucun bipède ne te cours après avec un air froid et terrifiant au visage.*
Aston
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Aston
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Aston
Mer 24 Avr 2019 - 19:03
Les premiers jours d'Eika au camp ne lui plurent pas du tout. Pour commencer, on la mit dans une cage, où elle entra de bonne grâce la première fois, ce qu'elle regretta d'avoir fait, étant donné que l'humain qui l'y avait conduite l'y abandonna jusqu'au lendemain, toute seule! il y avait un bol d'eau, et un matelas confortable, mais c'était loin d'être suffisant à ses yeux pour compenser la solitude qu'on lui infligeait. Elle avait passé la soirée à tourner en rond, s'ennuyant, écoutant les autres chiens qui chantaient, encouragés par les autres, ou pleuraient leur maître. Le lendemain ne s'était pas beaucoup mieux passé: une humaine était venue la chercher: Eika avait été ravie, jusqu'à ce qu'on essaie de lui mettre une laisse! elle avait fait le clown, refusant obstinément d'avancer tant qu'elle serait attachée. Elle s'était roulée par terre, avait tourné le dos ostensiblement à la femme, avait attrapé la laisse entre ses dents comme un chiot capricieux. L'humaine l'avait emmenée dehors en la prenant dans ses bras, mais à l'extérieur, cela ne se passait pas mieux.
Tout s'était arrangé au bout de quelques sorties: Eika, toujours réfractaire à la laisse, avait fait une cabriole si inattendue que l'humaine l'avait lâchée, et la petite chienne avait alors pu démontrer que cette contrainte était inutile pour elle. Elle était restée à quelques mètres de la femme, la suivant gentiment, et revenant vers elle dès qu'on l'appelait. A partir de ce moment, elle ne fut plus attachée quand elle sortait, et les humains l'associèrent à des activités de plus en plus nombreuses, comme elle était bien sage, et sociable avec les autres chiens. Cela ne valait pas la maison, ni le maître, mais Eika, comme à son habitude, voyait le bon côté des choses.
Ce jour-là, la petite chienne était d'excellente humeur: elle avait eu un peu de riz au fond de sa gamelle, et l'humain qui était venu l'avait emmenée dans un nouvel endroit, qu'elle ne connaissait pas encore. Elle l'avait suivi en trottinant jusqu'à ce qui lui sembla être un drôle de petit village, avec des tables, plein de gens et quelques chiens. Comme il s'était assis pour fumer, Eika en profita pour s'éloigner un peu, aller dire bonjour à tout le monde, renifler les milliers d'odeurs dont l'endroit regorgeait. Son amabilité envers les humains lui valut de récupérer un morceau de pain, qu'elle attrapa avec empressement; elle le partagerait avec le malinois qu'elle avait rencontré à son arrivée! enfin, il aurait d'abord fallu le retrouver, elle ne l'avait jamais revu. Peut-être qu'il était dans ce nouvel endroit? La petite chienne se mit à le chercher, joyeuse à l'idée de revoir un ami. Elle bondit lestement sur une table inoccupée pour mieux y voir. Elle ne trouva pas celui qu'elle cherchait, mais ce qu'elle aperçut la surprit tellement qu'elle en lâcha le quignon de pain: une drôle de créature, grise ou noire, avec la peau lisse, aplatie au sol, qui courait se cacher sous un buisson. Eika, curieuse, n'oublia pas les priorités: elle reprit le morceau de pain, et en quelques coups de patte, l'enterra soigneusement sous la table, là où il serait en sécurité. Elle avait surveillé du coin de l’œil le buisson, tout en recouvrant le pain de terre avec son museau, mais la créature n'en était pas ressortie.
Tout doucement, comme une chasseuse, la petite chienne s'approcha, et s'arrêta pour humer l'odeur quand elle fut assez près. Pas d'erreur possible, c'était bien un chien qui était là-dedans! mais pourquoi se cachait-il? Ravie de sa trouvaille, elle aplatit ses pattes avant au sol, et mit la tête entre les deux, pour être à la hauteur de l'inconnu, qui devait être un mâle à son avis, et pour mieux l'apercevoir. Le pauvre chien était blotti au fond de la végétation, tout tremblant. Elle hésita un instant, mais ne voyant pas de danger autour d'eux, Eika se détendit. Elle le salua d'un battement de queue et d'un aboiement feutré.
"Qu'est-ce qu'il se passe? Je peux participer?"
Tout ce que faisait un chien comme celui-là était forcément intéressant! il était plus grand que ce qu'elle avait cru au début, il avait des yeux comme elle n'en avait jamais vu, et sa peau, tout lisse, ressemblait à celle d'un humain. C'était vraiment une créature extraordinaire, comme elle n'en avait jamais vu.
Eika
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Eika
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Eika
Mer 24 Avr 2019 - 20:32
ft. Eika
It's hard to breathe sometimes
*Tu sens ton cœur battre dans ta poitrine à tout rompe, tu n’avais pas couru aussi longtemps depuis un moment. Ta fuis comme si ta vie en dépendais sans regarder par ou tu allais, sans te posé de question tu as purement et simplement suivi ton instinct. À l’ombre, dans le buisson tu guette l’arrivée du moindre bipède, heureusement ta fuite n’a pas attiré l’un d’eux mais plutôt un compagnon à quatre pattes. Tu es cependant si nerveux que ce n’est que lorsqu’elle aboie après toi, le poitrail au sol que tu te retournes surpris vers celle-ci.
Son long museau, ses oreilles triangulaires, rien chez elle ne semble terrifiant. Elle te demande ce qui ce passe, si elle peut participer. Participer? À quoi? À ta chasse? Tu la scrute un moment en silence, ne sachant pas trop quoi pensé de ses paroles. Tu t’approches en rampant légèrement, humant doucement l’odeur que la petite chienne dégageait avant de gémir tout bas. L’informant de la situation. Prenant tout de même tes gardes puisque celle-ci semble être en contact avec les humains. *
- Participer? Tu es avec eux? Ils vont probablement me tuer… Je ne sais pas trop, mais j’ai merdé.
*Demandes-tu en espérant qu’elle soit franche avec toi. Elle pourra très bien ce mettre à aboyer après toi, après tout tu es un peu épeurant sans ton poile et tu viens de t’enfuir. Ils pourraient avoir envoyé une escouade canine pour te retrouver et te punir? Avec l’huile de coco que tu as d’étendu sur le garrot, les meilleurs chiens renifleur peuvent très bien te retracé! Malheur. Tu secoues ta large tête, essayant d’éloigner ses scénario catastrophe et repose tes yeux ambre sur la jolie Fox Terrier. *
-Tu es avec moi hein? Tu ne me dénonceras pas? *Insiste tu, piteux de ton sort. Essayant de te convaincre que le canidé devant toi n’est pas de nature malveillante. Tu désire de tout cœur que celle-ci soit ton allié, que tu n’ai plus rien à craindre à ses côtés. Même si tu fais presque le double de sa taille, tu crois qu’elle pourra te protéger de tous les dangers.
Sortant le bout de ton nez de ta cachette, tu dresses les oreilles en observant l’endroit par ou tu es arrivé. Aucun humain n’accourt vers toi, tu prends donc la décision de sortir un peu plus de sous ce buisson. La laisse accrocher à ton large collier t’incommode beaucoup, tu viens prendre celle-ci dans ta gueule et venir tirer légèrement dessus. Remarquant rapidement qu’elle semble bloquer…Tu relâche donc ton emprise dessus en soupirant.
Ce n’est même pas un chien ou un humain qui ta piéger, mais un buisson inerte. Tu désespère cependant trop rapidement, le bout de tissus est simplement pris entre deux branches à ras le sol. Suffirai, Aston, que tu utilises un peu plus ta force pour la défaire. Tu es trop doux, même avec les objets inanimé…*
-Aah, je suis foutu...*Lâche tu en revenant te coucher au sol le museau posé sur tes pattes avant. *
Aston
Peureux
Aston
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Aston
Mer 1 Mai 2019 - 11:13
Le chien avait vraiment l'air très inquiet. Il lui demanda si elle allait le dénoncer, parce qu'apparemment, quelqu'un cherchait à le tuer! la petite chienne ne répondit pas tout de suite. Elle n'avait vu aucun danger nulle part, à son avis, personne ne le poursuivait.
De plus en plus intriguée, Eika regarda le chien nu sortir tout doucement du buisson, puis se coincer à cause de sa laisse. Décidément, les humains ne pouvaient pas s'empêcher d'en affubler chaque chien qu'ils croisaient! c'était, à l'avis de la petite chienne, la pire idée qu'ils avaient. Le drôle de chien eut cependant le bon réflexe, et attrapa le lien pour tirer dessus. Toute contente, s'attendant à ce qu'il soit libéré dans les secondes à venir, Eika fit un bond en arrière pour se redresser d'un seul coup, déjà prête à suivre le chien là où il irait ensuite. Mais, à sa grande surprise, alors que sa méthode était la bonne, il abandonna très vite et s'avachit au sol.
"-Aah, je suis foutu..."
Elle le regarda un instant sans trop comprendre; cette laisse ne lui avait pas l'air si terrible que ça. Elle contourna le chien pour inspecter de près l'endroit qui bloquait, et quand elle fut satisfaite de son examen, se mit à tirer sur le tissu en grognant un peu, pour soutenir son effort. Eika finit par parvenir à ses fins, moins facilement que ne l'aurait pu le chien nu. La laisse se débloqua d'un coup, et la chienne, surprise, tomba sur le dos, entraînée par sa propre force. Elle se releva, tout joyeuse, fière d'elle, et en profita pour se permettre de venir dire bonjour de plus près au chien.
La peau de ce dernier était plus chaude qu'elle ne l'aurait pensé; même si son museau restait à quelques centimètres de lui, sans le toucher, elle le sentait irradier. A part ça, il n'y avait pas vraiment de différence avec un autre chien. Sauf... Elle baissa la tête pour renifler le poitrail; voilà une drôle d'odeur, qu'elle n'avait jamais sentie! ça n'était pas une odeur de chien, ça! Eika jeta un coup d'oeil au fugitif. Pas de doutes, c'était un chien. Il avait du se rouler dans quelque chose qui avait cette odeur, mais elle ne savait pas quoi.
Puisque la situation semblait enfin s'y prêtait, et que ce chien, quoique terrorisé, n'avait pas l'air méchant pour un sou, elle se décida à lui parler:
" D'accord, je suis avec toi! qui veut te tuer?"
Elle était persuadée qu'il y avait eu un malentendu. Qui pourrait vouloir tuer ce chien-là? Ou peut-être que c'était lié à la drôle d'odeur qu'il portait sur lui, il avait peut-être volé quelque chose? Quoi qu'il en soit, ce serait sûrement amusant, et intéressant, d'aider ce drôle de chien. Comme il mettait du temps à se relever, elle vint se coucher en face de lui, pour rester plus ou moins à sa hauteur, et essayer de le mettre plus à l'aise, puisqu'il ne semblait pas se détendre. Elle s'amusa à chasser du bout du museau une sauterelle posée sur un brin d'herbe qui l'esquiva facilement en un bond. Elle attendait que le chien soit plus tranquille, ou prenne une décision.
Elle vit du coin de l'oeil que l'humain qui l'avait accompagnée jusqu'au parc se rapprochait, pour voir ce qu'elle avait trouvé dans le buisson. Il ne comprenait pas qu'elle était en pleine conversation, et elle espéra qu'il ne venait pas pour lui dire qu'il fallait partir.
Eika
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Eika
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Eika
Jeu 30 Mai 2019 - 0:46
ft. Eika
It's hard to breathe sometimes
*Tu es vraiment exaspérant parfois! Il suffisait que tu viennes à donner un bon coup sec sur le bout de tissus pour dégager celle-ci d’entre les branches pour que tu sois libre. Tu n’as même pas essayé de tirer un peu plus fort que tu laisses tout tomber pour t’apitoyer sur ton sort.
D’ailleurs, le temps de te recoucher sur le sol, la petite chienne disparait de ton champ de vision. Tu avais stressé pendant un moment, disparut d’un seul coup comme ça alors que tu es inattentif. Toute suites tes pensée ton dit qu’elle allait te balancé ! Ta large tête ce dresse en parcourant l’horizon du regard, stresser, c’est lorsque tes oreilles pivotes vers le grognement terrifiant (enfin, pour toi) de la Terrier qu’un peu d’espoir naît en toi. Avec une force incroyable qui la fait chavirer, elle réussit à défaire la laisse bloquée! Tu restes au sol, surpris de voir que malgré sa taille elle possède une super force comparativement à toi. Elle ta délivrer, elle voudra surement t’offrir de sa protection non? Ta plus rien à craindre avec cette Terrier! De par sa taille, elle se glisse facilement sous le buisson et te rejoins, te reniflant de sa grosse truffe bien humide. Détectant probablement l’odeur alléchante sur ta nuque, tu ne bronche pas restant bien soumis en la scrutant du regard alors qu’elle prend position dans cette ‘’poursuite’’.*
- D'accord, je suis avec toi! qui veut te tuer?
- …M..Mais tes super forte! Merci de m’avoir libérer, j’y serai jamais arrivé seul… *Lance tu soulager alors que ton nouveau compagnon viens s’installer face à toi. Chassant au passage une sauterelle qui te fit pencher la tête alors que tu la perds de vue dans l’herbe. *
- Ceux qui veulent me tuer? Je crois qu’ils m’en veulent tous, je sais pas trop..J…AH! En voilà un! Il va me sermonner… *En suivant la sauterelle du regard dans l’herbe, tu as vue l’humain qui se rapprochait de vous deux. Tu ignores complètement qu’il s’agit d’une connaissance de la Terrier que tu viens de rencontrer, mais au lieu de t’enfuir comme tu l’auras fait, tu viens ramper rapidement jusqu’au côté de ta sauveuse pour te cacher derrière elle…''Caché'', puisque tu fais 20 centimètres de plus qu’elle Aston… Ton cœur ce remet à battre fortement dans ta poitrine. Plus il se rapproche en écrasant l’herbe sous ses pieds, plus ton corps se met à trembler. Tu fini même par haleter nerveusement. Tout ton être est déjà prêt à recevoir une douleur physique quelconque. Une tape? Peut-être vas-t-il simplement te sermonné bruyamment dans les oreilles, ou tirer sur ton collier en t’étouffant un moment ?
Tu lèves les yeux vers le bipède malgré la peur qui fait trembler ton corps nue. Tu scrute son visage, mais tu n’arrives pas à lire l’expression qu’il s’y affiche. Complètement figé sur le bipède, tu ne sais pas si tu dois le regarder pour qu’il comprend à quel point tu es désoler, ou tu dois être le plus soumis possible face à lui. À détourné le regard, en l'évitant le plus possible... Tu ne le sais plus! Tu ne sais rien! Tu as tout oublié! *
- Il est fâché? Il…Il va me faire quoi? Ghn... Tu seras puni pour m’avoir libérer, tu aurais pas dû m’aider! *Relaxe, respire...Non oublie ça. Tu est incapable de faire ça. Ta peur te gruge l'esprit. Tellement persuadé qu’il t’arrivera du malheur que tu ne laisses aucune possibilité que quelque chose de bien ce produisent…
Cet humain, Aston, ne sait même pas que tu es un fugueur ! *
Aston
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Aston
Lun 3 Juin 2019 - 21:26
Une fois qu'elle avait vu l'humain l'approcher, Eika avait réagi comme l'aurait fait n'importe quel chien qui ne voulait pas être sollicité: elle l'avait ignoré, tout simplement. Dans d'autres circonstances, elle se serait éloignée de quelques pas, mine de rien, mais à son avis l'autre chien ne l'aurait pas suivie, et elle avait vraiment très envie de faire connaissance, et si possible d'aider son nouveau compagnon qui avait l'air d'avoir de graves ennuis. Alors qu'elle était occupée à lui renifler le poitrail, le chien bondit, tout à coup aussi tendu qu'un ressort, et tremblant comme une feuille. Elle le regarda avec de grands yeux étonnés.
"- Ceux qui veulent me tuer? Je crois qu’ils m’en veulent tous, je sais pas trop..J…AH! En voilà un! Il va me sermonner…"
La petite chienne tourna la tête, cherchant le danger, mais comme elle ne voyait rien de spécial, elle dut se rendre à l'évidence. Celui dont il se méfiait, le seul à s'approcher d'eux, c'était l'humain qui l'avait emmenée jusqu'ici. Le chien noir s'était caché derrière elle, toujours aussi tremblant, tout son corps parsemé de spasmes de crainte.
- Il est fâché? Il…Il va me faire quoi? Ghn... Tu seras puni pour m’avoir libérer, tu aurais pas dû m’aider!
Eika ne répondit rien, elle voyait bien que l'autre ne pourrait pas l'écouter, il était trop stressé. Elle réagit par instinct; elle bondit joyeusement vers l'homme, battant de la queue, les yeux souriants. De cette façon, elle faisait rempart entre l'humain et le chien, laissant à ce dernier le temps de comprendre que la situation n'était pas dangereuse. Elle se laissa même caresser un peu, pour faire plaisir au bipède qui s'était accroupi à côté d'elle.
A sa grande déception, le chien nu ne bougeait toujours pas, tétanisé à côté de son buisson. L'humain commençait à trouver la situation bizarre, et louchait vers la laisse abandonnée au sol. S'il avançait vers l'autre chien, il paniquerait forcément! tout en continuant son cirque, debout sur ses pattes arrières, un tour qu'elle avait appris à maîtriser il y a déjà quelques années pour mieux voir le monde en hauteur des humains mais surtout pour attirer l'attention, Eika essayait de réfléchir. Peut-être que le chien l'avait confondu avec un autre humain? Elle poussa un aboiement délicat à l'attention de son compagnon, pour le sortir de l'état second dans lequel il semblait être.
"Tu es toujours là? L'humain n'est pas fâché!"
Elle n'avait jamais trouvé que les humains pouvaient se fâcher très fort, de toutes façons. Certains criaient, elle avait entendu dire que d'autres frappaient les chiens, mais elle avait du mal à le croire. Elle ne l'avait jamais vu, en tous cas.
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