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Sam 11 Avr 2020 - 16:13
© Arrogant Mischief sur Never Utopia
Marco

«Well... Let's begin»


۞ NOM : Marco

۞ SURNOM : Marco - Mon grands - Poulet (une grande histoire)

۞ AGE : 5 ans et demie

۞ SEXE : Mâle

۞ GROUPE : Pensionnaire

۞ RANG : Nouveaux

۞ RACE (ou non...): Setter Anglais

۞ TAILLE : 70 cm - Relativement grands pour un setter.

۞ POIL : Long mais taillé régulièrement, dit de couleur "lemon" ; parsemé de petites tâches rousse sur tout le corps, celle-ci devenant plus présentes aux niveaux des oreilles et du museau.

۞ YEUX : Brun foncée, quelques reflets plus ambrés au soleil.

۞ MARQUES DIVERSES : N'à plus que trois pattes mais ne s'en formalise pas _ une prothèse est équipée à sa patte arrière gauche -


MENTAL & CARACTÈRE
Le setter à un comportement bien remarquable : effectivement, Marco est reconnaissable entre mille à sa façons. Il passe la majorité de son temps à être blasé, indifférents à ce qui l’entourent ou le touche : ho, il ne se fous pas des autres ni de leurs émotions, bien au contraire, seulement il semble imperméable à l’extérieur. Cette air totalement blasé lui viens principalement de son intellect, il réfléchit et observe sans cesse, son intelligence dictant ses pas. Il ne peut s’empêcher d’être comme ça, ne faisant pas assez confiance à son propre instinct, il préfère tout calculé jusqu’au moindre détails, très naturellement il évite donc avec facilité les ennuies et ne se fourre que très rarement dans des situation défavorable. « Très rarement » ; les quelques exceptions venant de ses compagnons humain ou canin (les plus proches de lui du moins), pour qui il voue un dévouement sans faille : un côté protecteur qui est bien présent et marqué. C’est un chien de confiance, qui à un certain leadership, comme une aura ; c’est un pilier qui est là pour vous aider… Mais avant ça, il faudra l’approcher, et le trouver intéressant, malgré son air rébarbatif.

Toujours du côté sociale, Marco est relativement calme, tout comme son maître il lui en faut pas mal pour juste se froisser : bien qu’il n’aime ni les remontrances et ni la méchanceté gratuite, il se contente de relevé et de répondre avec lassitude, peut-être avec des piques quand il le faut mais jamais avec méchanceté directe ; Œil pour œil et le monde finira aveugle, lui n’à déjà plus que trois pattes.

Plus généralement le roux est un chien assez ennuyeux voire ennuyé… Il n’aime pas spécialement joué, trouvant la baballe stupide, il n’est pas non plus gourmand -exception faîte au poulet- et encore moins sale. Oui, pour le stimulé et trouver quelques chose qu’il aime il faut chercher. De plus il est pas extrêmement énergique, sans être paresseux, mais bouger partout sans objectifs ni raison est juste, blasant ? Bien sûre il prends du plaisir à se promener, mais le reste n’est pas convainquant. En somme il est bien éduqué ; les bêtises ne sont pas faîtes pour lui contrairement à son nouveau compagnon de route – dont il à parfois l’impression de gérer plus que l’inverse -. Il raisonne avec logique et perspicacité, bien qu’une situation précise le place dans une peur panique : depuis six mois déjà, il ne supporte plus les bruits des scooters et des deux roues, deviens effrayé à leurs visions, immobile et incapable : la phobie le ronge mais il semble que deux bipèdes soient près à l’aider pour ça…

C’est un chien posé, qui apprends sans cesse : il semble avoir faim de connaissance et s’intéresse à des éléments logiques. Il est captiver par tout ce que l’univers semble avoir de mystérieux et merveilleux sachant qu’il n’en saura qu’une infime partie, ce qui est toujours mieux que rien. Il aime exploré, s’aventurer là où lui n’a jamais été, d’où son bagout pour les promenades, longues et inédites.


HISTOIRE
-> Le collier bleu

Toute grande histoire commence par un petit détail : ici il est bleu canard, minuscule mais lâche, la couleur ravivant les tâches rousses du petit chiot. Ho le collier parfait le bébé setter, sans en être le but : les autres de la portée sont tous équipé à la même enseigne, le ton seulement les distinguant. Le « lemon » est appelé Bleu, troisième né sur une fratrie de 7. On y trouve aussi vert, violet, orange, jaune, rouge et rose ; un arc-en-ciel de collier suivant une logique peu détailler. Mais qu’importe, il faut les reconnaitre après tout.

Tout ses frères et sœurs sont plus actifs que lui, il est le pâteau peu dégourdie de la famille de chasse ; il est aussi le seul roux les autres arborant une teinte plus foncée ou du noire mêlé de feu au milieu de vagues étendue blanches. Ce n’est pas un défaut, ni vraiment une chance : c’est ainsi que Bleu est.

Les premiers mois passèrent à une vitesse éclair : les bruits, les textures, les couleurs, l’extérieur, les interactions… Tant de chose à découvrir alors que déjà il est temps de s’en aller. Sa mère et ses « collatéraux » ne deviendront vite qu’on souvenirs lointain et brumeux. Qui peux l’en blâmer ? Si nouveau sur ce monde et déjà trimballer à des kilomètres de son premier domicile, sa mémoire n’en garde que des pants précieux mais rare.

-> Une main, une blouse, un homme

C’était avec lui qu’il était partit. Avec cette homme à la main aussi large que douce. Il s’était pencher avec lenteur, et avait approcher cette patte humaine de sa petite tête : à sa guise le bipède pouvait le soulever entièrement, tellement il était grand. Bleu n’avait pas peur, il était impressionner. Puis aussi vite qu’il était arrivée il était repartit, tel un mirage, avait-il rêver ?

Mais une semaine plus tard, l’odeur familière de la main lui avait chatouiller le museau. Sans qu’il ne comprennent le pourquoi du comment, le sol frais était devenue un siège confortable et moelleux, à relever l’échine il pouvait apercevoir le paysage inconnue défilé si vite qu’il n’avait le temps de ne distinguer ni les arbres, ni les buissons. C’était à en perdre la tête : une légère sensation de tournis plus tard, il retomba dans un sommeil lourd, bercer par les aléas de l’engins dans lequel il sommeillait.

Son autre réveil le fit sursauter : désormais de grands murs décorés l’entourait : sous ses pattes une large moquette vins se déployait dans toute la pièce et non loin un petit panier confortable l’appelait. Le setter se releva, non sans difficulté, puis pris le temps d’examiner la pièce. Il renifla les meubles de bois, les pieds de la grande assise douillette qui trônait au centre de son nouveau monde, avant d’être interrompus par la main.

L’homme se baissa avec lenteur, invitant le chiot à venir sur ses genoux. Il hésita, que faire ? Puis, d’un pas plus assuré, décida de grimper sur l’humain, avant de tomber lamentablement. L’homme rigola, puis le souleva avec tendresse. Dans le même geste il retira le collier bleu lui offrant un compliment, une caresse et le laissa vagabonder à ses occupation, se retournant dans une phrase destiner au jeune «  Je reviens Marco ! »

Le roux tourna la tête d’incompréhension, plus de collier ? Marco ?

Quelques mois passèrent : Marco avait grandi, apprenant un peu plus sur la main : L’homme se prénommait Charles, était plutôt occupé mais avait toujours du temps pour lui. Il vivait seule à l’exception de deux jeunes filles qui lui rendait visite à chaque week-end libre. Il semblait plus épanouis en leurs présence, bien que Marco ne soit pas du même avis : les jeunes filles avaient un amour particulier pour lui ? Comment dire, elle voulait toujours l’occupé ? Elles étaient increvable, si bien que le setter avait trouver l’astuce de simuler la sieste ; il s’ennuyait mais était laisser tranquille.

Charles, revenons sur lui, avait un emploie du temps charger et disperser : il pouvait partir à toute heures, et revenir longtemps après, profitant de la pause manger pour faire un détour, afin d’aller voire son compagnon. Il terminait ses journées harassé, et revenait parfois avec une longue bouse blanche à l’odeur forte et désagréable au museau du tacheté. M’enfin, qu’importe, celui-ci était toujours heureux de son retours.

L’agréable sensation que les années passe comme des mois – elle ne l’est pas pour tout le monde- Mais pour Marco, c’est la plus belle chose qu’il connaisse. Charles est un bienfaiteurs finis ; plutôt mollassons en dehors du travail, il passes ses journées à « glander » en compagnie de Marco. Il l’éduque avec volonté et fermeté mais à côté tolère pas mal de chose.
Il devient vite inséparable de son chien, autant que Marco le devient de son humain. Ils trainent tout deux au lit le matin, ne vont pas trop vite, passe leurs soirées devant la télé, (l’un à dormir, l’autre à s’intéresser au média). Il n’y a pas à dire ; les deux se ressemblent.

Les journées étaient trop courtes pour eux deux : mélanges d’aventures divers, d’exploration de terrains et de siestes mérités, rien ne semble pouvoir les arrêter, ‘fin sauf la fatigue. La vie est un long fleuve tranquilles, rien de plus vraie pour nos compère. Ils avancent et vieillissent ensemble, d’un pas commun.

L’homme se fait de son devoir de montrer tout ce qu’il peut à son toutou, de le rendre intelligent du mieux qu’il peut et Marco se montre fort intéressé par tout, une chance. Il rencontre avec succès tout type d’animaux, deviens sociale -dans sa propre limite de blasé- , et retiens au maximum ce que son « Papa » lui apprends ; parce que oui, au fond, c’est un peu une relation père-fils, basé sur du respect et de l’affection.

-> L’odeur du pain chaud et de la pluie

C’était un matin ou la pluie tombait sans cesse, frappant avec énergie le béton qui ornait la ville. Ils avaient essayé d’attendre un peu ; sans vraiment grand succès… Charles dans un souffle désabusé s’était emparé de la laisse de Marco et d’un parapluie, l’appelant et l’attachant.

Affrontant l’averse, les compagnons s’était tout deux diriger vers la boulangerie à coups de grandes foulées rapides ; leurs pas raisonnaient d’un même bruit au milieu des bâtiment éclairés. Les quelques mètres passés, il entrèrent dans la boulangerie. Marco s’ébroua à l’entré de celle-ci, puis se plaça derrière l’humain dans la boutique chauffé, une légère discussion sur la pluie et le beau temps s’installa entre les hommes qui y étaient, tandis que simultanément leurs commandes s’emballaient. Une remarque de politesse, un au revoir : il étaient temps de rentrés.
Marco prit une dernière bouffés d’air, inhalant l’odeur réconfortante du pain chaud, puis emboita le pas de son maître.

Ils traversèrent le trottoir lorsqu’un bruit strident fit sursauté le chien : il tourna la tête affolé, sans avoir le timing de bougé plus. Un phare l’éclaira, un bruit sourd tomba au fond de ses oreilles tandis que la nuit occulta son champs de vison, la dernière image étant celle d’un petit engin à deux roues, s’approchant de plus en plus, flanc sur le sol, glissant sur la fine pellicule d’eau.

-> Bas les pattes

Une lueurs vacillante lui piquait les yeux. L’éclairage peu lumineux arrivait tout de même à l’éblouir si fort qu’il n’osait qu’entrouvrir ses paupières. Une douleur pesante immobilisait ses muscles, une fatigue lourde l’empêchait de sentir l’entièreté de son corps. Sa respiration était sifflante mais régulière. Il ferma les yeux, inspira avec force le fumet qui l’entourait… Ils se releva d’un coup brute :

l’odeur, c’était comme celle de la blouse de Charles.. L’antiseptique emplissait l’air d’amertume, il regarda autour de lui : des murs immaculés l’enfermait dans un silence royal. Où était Charles ? Il chercha, avant d’être emporté par sa propre fatigue artificielle.

Lorsqu’il ouvrit les yeux -pour une énième fois- il se rendit doucement compte de la situation actuelle : perdue il lui fit un petit temps pour ne serait-ce qu’envisager l’idée de ne pas retrouver Charles. Mais plus les heures tournaient, plus Marco ce sentait seule, là, abandonner par le destin. Un autre fait occupa rapidement encore plus son esprit : il lui manquait une patte. Un bout de patte entier.

Dès qu’il fut sortie de la caisse immaculé, ses réflexes le conduisit à se mettre debout : il tomba, s’étalant par terre, aucune main bienveillante n’étant là pour le relever. Quelques sortie plus tard il commençait à se « débrouiller » -soit à ne plus tomber tous les 3 mètres.
Il soupirait sans cesse et s’emportait contre lui-même quand il était seule, au fond de son trou : tel le bon chien qu’il était, il se trouvait responsable de ne pas put avoir influencer l’accident d’une sorte, aussi sotte soit-elle.

- Un gamin bien trop souriant

Il resta là longtemps, le séjours lui parut interminable et peu à peu ses maigres espoirs de revoir Charles se détruisait, d’une manière ou d’une autre. Bientôt il comprit qu’un changement se profilait à l’aube : dans un aléas des bipèdes venaient le voire et prendre de ses nouvelles : seulement, lui, ne les connaissait pas. Du jours au lendemain il se trouva embarqué dans un vari kennel, au milieu d’autre chiens, pas plus informé que lui.

Le trajets passa, s’éloignant de son domicile et de son humain ; plusieurs heures après il fut déposé à l’abords d’un endroit qui grouillait d’animaux. Un peu comme une pensions, seulement l’atmosphère différait. Des pleurs retentissait, là au-fond, des aboiement plus fort les recouvraient ; une douleurs occupait les pupilles de certains tandis que d’autre semblait joyeux d’être là.

Il fut alors amené dans une nouvelle maison, froide, que les hommes avait essayé de rendre agréable. Marco souffla désemparé, il effectua un tour, puis deux… Le vide prenait une grande place dans le boxe, tout autant que dans son cœur. Il s’ébroua, puis laissa son regards ambré couler vers les barreaux qui filtrait l’air tempéré ; un jeune homme l’observait là, sans rien dire.
Jamais il ne l’oublierait : il avait dans les yeux cette étincelle de tendresse et de gentillesse, semblable à Charles. Puis il partit susurrant au chien un petit mot de départ. Marco n’eut pas besoins de plus pour comprendre que maintenant, il devait à son tours se coucher, et dormir sans réfléchir.

Ce que le roux n’avait pas préméditer c’était que le gamin reviennent, pas qu’une fois, non, mais à chaque occasion qu’il avait. Il venait le voire, essayait de l’appâter, le caressait et lui parlait. Le chien n’était pas tout à fait insensible à ce genre d’action, mais son petit cœur encore fragile, ne lui laissait pas le loisir de prendre plaisir à ses attentions. C’est drôle comme on peut être con quand on est triste.

Et puis les mois passaient : Marco avait reçu -non sans joie- une prothèse, qui aussi bien adapté qu’elle l’était lui permettait de se mouvoir au-dessus du convenablement. Il s’imaginait alors repartir explorer les environs, allez dans les forêt épaisse du coin et chercher à percer les mystères de l’océan. Cependant, il se trouvait bien seule pour se genre d’activité, là résigner dans son box. L’ébène – enfin Léandre – venait toujours lui rendre visite, c’est qu’il commençait tout juste à l’apprécié à sa juste valeur, le bougre.

Et puis un soir, le jeune homme était venue, dépité, l’air soucieux : s’appuyant sur les barreaux il avait prononcé des paroles inaudible pour un Marco endormis : celui-ci avait péniblement relever l’encolure ; dans un même mouvement un léger battement de queue l’avait accueillis, une question au bout des babines « Qu’est-ce qui ne va pas, gamin ? ». Et celui était repartit, courant vers un des bâtiments du refuges. Incompréhension.

Voilà comment Léandre l’avait finalement adopté, faut le croire à ce genre d’histoire. Depuis le jeune le balade partout où il va : encore plus dans un petit village, dans un chalet à proximité d’un camping ou il passe ses journées. Marco est comment dire ? Heureux ? Ouai, dans le genre, mais tout autant fatigué de devoir éduqué le gamin qui le traîne sans-cesse ! Non, sérieusement, ce changement radical est un mal pour un bien, lui évitant ainsi les comparaison possible…

Léandre est aussi fatiguant qu’attendrissant, bien qu’il ne le connaisse que depuis peu de temps, Marco sent qu’il peut avoir confiance en lui, mais il reste beaucoup à faire ; les mois à suivre dicteront leurs pas.


۞ CODES DU RÈGLEMENT : Okay || Nirvana (nan mais, vous croyez que c'est qui qui l'a inventer ?)
۞ PRÉNOM OU PSEUDO : Nirv'
۞ AGE DU JOUEUR : Bha, j'me vieillis tiens D:
۞ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? C'est notre petit bébés (me demandez pas qui à accoucher..)
۞ COMMENT TROUVEZ-VOUS LE FORUM ? Le bébé devient grands, j'suis fière
۞ PRÉSENCE SUR LE FORUM : Je viens souvent regarder, je rp quand je peux et que j'ai de l'inspi
۞ DOUBLE-COMPTE ? : OUI
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Marco
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Messages : 4
Date d'inscription : 02/05/2019
Localisation : Pas loins de Léandre
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