[local] - Chien d'un nouvel habitant - Jerricho

Jerricho

« Patte à patte »

MENTAL & CARACTÈRE

// Caractère adaptable, libre à vous de le définir //  

HISTOIRE

Une piaule, le nom exacte donné à ce type de maison délabré, les planches de bois s'affaissant une à une sur le sol abimés. Le froid mordant, l'odeur entêtante de la peur, le bruit sourd des chutes, puis au milieu, successivement, la chaleur, le bonheur meurtri, puis une dernière contraction, dans un dernier souffle d'angoisse : quatre chiots, encore faible et déroutés se précipitent sous la reine-mère épuisée de son long travail.

Quelques pleures retentissent, certains sont gelés, d'autre affamés. Mais la courageuse maman est là, dans un élan d'espoir, elle leur donne généreusement le précieux colostrum. Son regard pétille, elle aussi aurait envie de manger, de se réchauffer ainsi. Elle voudrait les accompagner, un peu plus, les voire grandir, s'épanouir : pourtant elle sait que ce n'est qu'un rêve désillusoir.

Bientôt elle glapit, rassure ses chiots qui viennent se blottir contre ses côtes saillantes, puis relaisse tombé sa tête contre le sol moisit. Le médaillon de son collier retombe lui-aussi durement, son bruit résonne une dernière fois dans la pièce ouverte, le métal gravé indiquant « Jarly ».

L'Astre de lune vint veiller le corps muet de la mère, ses chiots se blottissant encore plus, sans comprendre pourquoi celle-ci ne leur parle plus. C'est dans cette nuit que le plus faible rejoindra sa mère, lui aussi, l'accompagnant dans sa promenade céleste.

Puis un camion, enfin le bruit étrange d'un véhicule qui avance sur un sol incertain. Quelques voix effrayées se font entendre au loin, une discussion brise le bruit répétitif que les ruines ne cessent d'émettre. Un humain arrive alors, suivit d'un autre, ils prennent les faibles chiots et les emballes dans une serviette, qu'il dépose dans une étrange caisse, à l'arrière de la fourgonnette, marqué d'un triste slogan.

Désormais, le monde change, deviens tout de blanc vêtus, l'odeur est âcre, stérile. Les chiots passent plusieurs jours à l'issue desquelles l'un d'entre eux y laisse sa peau, trop fragile pour se dure monde. Puis les deux survivants partent, sont placées dans une géante place grillagé, où les hommes s'occuperont d'eux.

C'est là que les constatations sont faites ; deux chiots, un mâle et une femelle ont 'réussit' à échapper à leurs tristes sort. Ils se ressemblent énormément et sont typés Berger Allemand, bien qu'aucuns croisement ne se décèle dans leurs morphologies ou bien même robe. Il est décidé de les renommés temporairement : ils n'ont qu'un mois. La femelle prendra le nom de Jazz et le mâle celui de Jerricho.

Il partira le premier, dans les bras épais d'un grand homme blond, habitant beaucoup plus loin ; Un énième déménagement se produisit donc pour le petit Jerry, dont et pour la première fois, le regard brille d'une lueur heureuse, soulagé : Pas vraiment conscient de ce qui se passe mais, Oh... Tout semble si différent de ce qu'il à connu.

Enfaîte il est remonté jusqu'au Nord de la France, le voyage lui à pourtant parut court, mais rien de bien étonnant, il aurait pu moins dormir ! Son nouveau homme, semble plus agréable que tout ceux qu'il connue, il vit dans un appartement mais, travail à l'extérieur et emmène Jerry partout où il va. Pour le chien comme pour le blondinet, la petite habitation ne leur sert que d'abris pour somnoler.

Le tout nouveau couple est heureux, ils s'entendent à merveille, leurs traits se ressemble beaucoup, mais l'éducation semble plutôt bien se passer (si on ne précise pas le canapé qu'à détruit le berger, ainsi que les nombreuses paires de chaussons qui ne cessent de disparaitre). Tout comme la route, l'année semble passer si vite pour Jerricho, qu'il en oublierait presque ses origines.

Mais quelques soirées par semaine l'humain le laisse errer en roi solitaire dans la petite habitation et ceux de plus en plus souvent... Hum, après avoir mené enquête, le grand inspecteur Jerry, trouvera son maître avec un autre Homme ?

Et oui, il n'avait pas rêvé, son humain était amoureux ? Enfaîte, ce fut pour le meilleur : chien et propriétaire dé ménagère dans un plus grand chez soit ! Et puis tout semblait si bien ce profiler... Si bien, que quelques années plus tard, le couple déménagea dans une ville où ils pourraient être tranquilles :

La terre Natale de Jerricho, Grand havre de paix, Jardin et plaine ! Quoi de mieux pour vivre au grand air ! Mais bien des surprises l'attendes... A lui de s'en sortir à présent.