Komaro - Berger suisse - Locaux(Pensionnaire)

Komaro

« Sorry for all the mistake I make, I know I can't be perfect anymore»

MENTAL & CARACTÈRE

- Peur de s’engager – entêté – pessimiste - Envieux - Menteur - fidèle - sensible - loyal - aventureux - sang froid - bienveillant - Dévoué


Le chien est le meilleur ami de l'homme, n'est-ce pas ? Notre berger blanc correspond parfaitement à cette phrase. Si fidèle, loyal envers la famille de bipède l'ayant adopté alors qu'il n'était qu'un petit chiot. Il aime, adores, chéri précieusement chacun de ses humains. Même pour sauver sa propre vie, Komaro n'aurait jamais fait de mal à quiconque. S'il était obéissant au doigt et à l'œil, c'était tout autres choses envers les inconnues. Au travers de son regard bleuté, il est facile d'y apercevoir une vive intelligence. Assis, couché, donne la patte, tourne, roule...etc ce n'est pas les tours appris qui manque ! Capable d'ouvrir certaines portes, Komaro pouvait donner un coup de patte à la famille dans les tâches ménagères. Transportant sac d'épicerie ou de déposer le linge de la plus jeune dans le panier à lessive lorsque demandé. La famille Lefebvre à toujours considérer Komaro comme un ange gardien. Si pour l'homme, il s'agit d'un chien parfais...À l'endos de cette perfection, se trouve tout pleins de défauts...

En effet, Komaro voie le bol à moitié vide plutôt que pleins. Pas la peine de vouloir changer ça, il est entêté. Il a peut-être le sang froid et n'angoisse pas à ce que demain pourrais donner, mais notre Berger blanc à la mauvaise habitude de ne jamais se donner à son 100%. Il faut toujours qu'il lâche un profond soupire, accompagné d'un léger sourire agacé de ce faire poser la question. Qu'est-ce qui t'empêche de t'épanouir ? La peur d'échouer... Inévitablement.
Échouer est son cauchemar, rendre cette famille heureuse est son but ultime. Les sourires n'ont aucun prix pour Komaro. S'il pouvait se nourrir de l'abondance de bonheur et d'eau fraiche, tel serai son désir ! Si rendre heureux le satisfait pleinement, tout les moyens sont bon. Notre berger suisse n'a malheureusement aucun mal à mentir pour le bien des autres...En ce qui concerne les humains: ils passe bien avant son propre confort et pour une âme aussi bienveillante que lui, il est dommage qu'il ne prend pas plus soin de sa propre personne.

Dépourvue d'égoïsme, Komaro est un chien amical. Préférant le pacifisme à la violence, il reconnait cependant que les mots n'ont aucune effet sur certains chiens. Si par les crocs il assure la protection des autres, c'est donc sans remord qu'il les utilises à bon escient. Prévoyant, il n'agit cependant pas sans raison. Ce n'est pas pour autant qu'il évite de plonger à pleins museaux dans l'action. Soif de découverte, d'émerveillement malgré qu'il apprécie le confort d'une maison, ce toutou ne refuse pas l'aventure.

En termes de relation, Komaro aime la compagnie de ses bons camarades (après, bien évidemment de s'assurer que sa famille n'a pas besoin de lui). Il évite soigneusement d'irrité ses ennemis, acceptant d'être en conflits sans pour autant chercher les puces...En ce qui attrait à l'amour...Là... On touche à quelque chose de sensible. Komaro est réticent à s'engager, autant dans le court terme...Un amour c'est pour la vie, autant bien choisir...

HISTOIRE

Je suis né au Canada, dans un élevage nommer "Le berger blanc". Mes trois premiers mois de vie me sont plus très claire, j'avais plusieurs frères et sœur et ma mère prenait aussi bien de nous que le couple de bipède s'occupait d'elle. J'ai été adopté très jeune par la famille Lefebvre, il avait deux enfants dont l'un d'eux qui venait d'avoir son 10 anniversaires.

La joie dans son regard lorsqu'il me prit dans ses bras la première fois, je savais que ce petit gamin serait mon meilleur ami.

Stéphane, Mélanie, Alexis et Jade m'avais offert leur cœur, leur foyer ainsi qu'un magnifique collier rouge à mon arrivé. Mes années passées avec eux je ne les oublierais jamais, chaque jour étaient un cadeau. Alexis et moi nous étions inséparables, dès son retour de l'école je l'attendais sur le porche de la maison. Notre bonheur s'ajustait aux files des saisons, s'il avait des problèmes je l'aidais a les surmontés. La vie d'un jeune garçon, ce n'était pas facile. C'est pourquoi avec ses parents je travaillais souvent afin d'être le meilleur compagnon de vie. [...]

Les enfants grandissent vites, tout comme moi. Je crois qu'il attendait simplement que Jade puisse être un peu plus indépendante avant de faire un voyage, et moi mieux éduqué. Ils avaient acheté une résidence dans un autre pays, j'ai expérimenté mon premier vol en avion loin d'eux. J'aurais bien apprécié vivre cela avec Alexis, mais je suis déjà reconnaissant qu'il ne m'es pas laissé à la maison, au Canada. Orcière-sur-val, c'est le lieu idéal pour les vacances en familles. Le chalet est immense, magnifique, beaucoup de souvenir son lié à cet endroit. Nous y retournions toujours au moins une fois par an, ils prenaient toujours soin de m'amener avec eux. C'étais les plus beaux moments en famille.

Jusqu'au jours ou ils avaient fêté tard, les parents était exténués après avoir rencontrés de bons amis sur le terrain du camping. Alexis, Jade et moi avions passer la journée à courir ici et là dans les vastes étendus jusqu'au crépuscule venu. Les Lefebvres sont allés s'endormir au chalet qu'une fois la lune bien haute dans le ciel. Moi et Alexis somme descendu au sous-sol pour profiter du cinéma-maison et s'endormir coller l'un contre l'autre devant son film préféré.
L'odeur de la fumer, le crépitement des flammes, j'aurais dû sentir le danger. Le système d'incendie n'a point retentis, la famille c'est éveillés trop tard. Les parents avait s'en doute omis d'éteindre les chandelles et le foyer...

Soudainement, les hurlements des parents nous avaient réveillés. Si la porte menant à l'étage n'étais pas la proie des flammes, Alexis aurait très bien plus sortir. Malgré son jeune âge, il était brillant et ne perdit pas de temps. Je l'avais aidé à pousser le divan contre le mur menant aux fenêtres. C'est avec difficulté qu'il réussi à ouvrir la fenêtre bloquer par manque d'usure. Sur la pointe des pieds, il défonce le moustiquaire de toutes ses forces. Je ne comprends pas pourquoi il a voulu me faire sortir en premier... Sa vie était plus importante que la mienne, mon devoir aurait plus s'arrêter ici...
Il saisit mon collier et me tire vers le mur, m'obligeant à l'écouter. Alexis me prend dans ses bras et me soulève pour que j'atteigne le rebord de la fenêtre.
" Aller Koko' cours ! Va chercher papa et maman" M'avais t'il crié avant de tousser creusement. Une fois dehors, au moment ou je me suis retourné pour le regarder mes yeux se lève vers le ciel pour observer les flammes léchant avec avidités les murs du chalet.

Cet effroi dans mon cœur et mon corps.

Je n'arrivais pas à lui faire face, la chaleur était si forte qu'elle brulait mes naseaux et mes yeux. J'ai fuis après avoir scruté les flammes. J'ai tourné le dos lamentablement à Alexis alors qu'il venait de me sauver la vie. Sans même jeté un coup d'oeil derrière mon épaule, j'ai détallé lâchement dans les bois. Le bruissement des feuilles et le chants des oiseaux n'arrivait pas à calmer les images imprégnées dans mes pensées. Il a fallu que je glisse dans un fossé, roulant sur moi-même jusqu'à finir dans un amas de buissons pour m'empêcher de fuir plus loin. Jamais je n'avais fuis un danger, jamais je n'avais perdu mon courage devant l'adversité. Ma lâcheté me faisait incroyablement mal, incapable de me relever durant des heures sur le geste odieux que j'avais commis [...]

Et quand j'ai voulu me relever, mon collier faisait pression sur ma nuque. Avant ou arrière, je ne pouvais me déplacer.

C'est ridicule, mais j'étais bel et bien coincé par ce cadeau si joyeusement offert. Un dernier rappel sur tout ce qu'il m'avait offert, avant de l'abandonner. Probablement par orgueil, ou pour me sentir moins coupable, je ne voulais pas lâcher prise avant d'essayer quelques minutes, mais je devais bien me rendre à l'évidence, seul je n'y arriverais pas. Quand soudain, une magnifique louve au pelage aussi blanc et scintillant que le mien est apparue sans un son devant moi. Sans le moindre mot, elle c'était approchée de moi pour couper net le collier m'empêchant de me libérer. Libre enfin, c'était dans un silence absolu qu'elle refuse mes remerciement. Même si elle refusait, je me devais de le faire. Elle aurait plus simplement choisir de me tuer...De toute évidence, elle ne l'aurais jamais fait: la douceur qu'émane de cette louve est palpable. Peu bavarde, elle pris soin m'apprendre à me nourrir convenablement durant mon errance...J'y avait pris goût à cette vie de vagabond. Bien que je souhaitait retrouver le confort d'un foyer lors de l'hiver plutôt rude. J'ignore pourquoi elle ma aider, surement l'instinct d'une mère. Lorsqu'elle à sentis que je me débrouillerais bien seul, elle est disparus sans le moindre avertissement. J'espère encore aujourd'hui, pister son odeur pour aller la remercier une dernière fois...

Même si elle le refuse...

Les terres de Orcière sur val son vaste et je n'ai jamais eux l’occasion d'explorer tout les recoins. Ma loyauté envers ma famille me pousse à rester près du camping et de refuser la gentillesse des hommes qui m'offre leur foyer. Avec le temps, je sais que certains dépose toujours une gamelle d'eau et de nourriture. Lors des temps difficiles, il est bon d'avoir de leur soutiens. Ma fourrure n'est étrangement pas aussi blanche que celle de la louve, mais une vieille dame prend le temps de brosser ma fourrure de temps à autre lorsque je viens profité des rayons du soleil près de son cabanon...Chaque jour, mon instinct me ramenait vers les chalet pour voir la reconstruction de celui démolie par les flammes. Espérant y revoir Stéphane, Mélanie et Jade...

Pourtant, lorsque la construction c'était achever, il y as eux un temps avant que le chalet ne soit habité de nouveau...Puis, quand je les ait enfin revue, au loin sur la colline, j'ai douté de mon importance au sein de cette famille. Après toutes ces années, Jade s'amusait et riait avec un autre chien. Elle avait si grandit ! Stéphane et Mélanie semblait bien se porter et leur nouveau compagnon effaçait visiblement la souffrance qu'avait apporté Alexis...
Je ne peux pas leur en vouloir...Ils ont retrouvé l'émerveillement, le deuil étant passé pour eux, alors je devrais faire pareille...

Je suis heureux de les revoir à Orcière sur Val et je continuerais de veiller sur eux. À l’écart cependant, laissant le bonheur de cette famille entre les pattes du nouveau chien de la maison....