[CONFIÉ] Aston ~ Xoloitzcuintli

ASTON

« J’ai voulu soigner tes blessures, mais tu m’as offert l’enfer.  »

MENTAL & CARACTÈRE

Aston, tu es craintif, anxieux, légèrement paranoïaque. Tu as beaucoup de mal à faire confiance aux bipèdes, tu ne comprends pas toujours ce qu’ils attendent de toi. Ton anxiété t’empêche de bien réfléchir lorsque tu es en présence des humains, chaque geste, tu le prends comme une menace. Les expressions faciales ne sont plus qu’un gribouillis pour toi et le ton de leur voix te murmure un mauvais présage. Les humains te font vivre une vague d’émotion, dont tu as beaucoup de mal à gérer. Passant de la haine envers eux pour ensuite avoir des remords. Tu t’égards beaucoup vis-à-vis ton sentiment face à eux. Tu as perdu le nord, l’homme tes redevenu un inconnu que tu devras apprendre à connaitre.

Ta méfiance envers l’homme te pousse même à remettre en question certaines paroles de tes confrères et sœurs. Par peur qu’ils ce soient allié à eux pour te faire du mal. Quel mal? Pourquoi? Tu as du mal à éclaircir toi-même les idées, tu t’embrouille facilement et tu ne demandes qu’avoir un endroit ou reprendre ton souffle. C’est pourquoi tu apprécies être rassurer par tes paires, pouvoir se cacher derrière eux pour avoir ce sentiment de protection. La vie en groupe t’es donc favorable bien qu’elle doit être gérer, coordonnée : trop d’individu au même endroit te rend nerveux. Être diriger par un chef te donne beaucoup plus d’assurance, tu préfères même être dirigé plutôt que de dirigé. On t’accuse souvent de t’appuyer un peu trop sur les autres, alors que tu as amplement les capacités de te défendre seul.  Certes, tu n’es point méchant, mais tu sous-estime beaucoup ta force... Tu n’apprécies pas la violence, c’est pourquoi tu déteste perdre le contrôle sur toi-même. Tu as peur de ta propre force, peur de blesser tes semblables. C’est ce qui te pousse à t’éloigner lorsque tout vas mal, au lieu d’aller chercher ce que tu veux. Tu attends beaucoup des autres, mais tu en fais si peu!

Pour l’instant, tu n’as pas beaucoup d’assurance. Sa viendra. Lorsque tu t’habitue à ton environnement et aura confiance en ton entourage. Ton esprit sera plus clair, mais malheureusement ta haine envers l’homme sera tout de même persistante. Tu seras plus têtu et ferme dans tes décisions face à l’homme autant qu’aux autres canidés. Tu seras cependant fragile, tu remettras ta détermination en doute. Ton instinct te dictera de reprendre le contrôle alors que ton esprit brisé te dira de te soumettre. Te goûtera d’avantage aux plaisirs de la vie, gambader tu auras envie et nager te sera un vrai plaisir. Ton cœur penchera d’avantage vers un canidé masculin qui aura la patience de te rappeler à quel point il est bon vivre chaque jour à 100%. Ton rêve changera, tu n’auras plus envie de passé ta vie au pied d’un humain. Ton envie de liberté grandira avec ton cœur, bien qu’en ce pays où il fait parfois si froid, tu seras confronté à une autre réalité. Ton enchaînement à l’homme te rendra légèrement maussade.

Aston, tu es parfois si paradoxale. Laisse le temps faire son travail et peut-être les ailes que tu avais avant ta chute en enfer pourront repousser.

HISTOIRE

Tu es né dans une famille riche et aimante. Parmi tes frères et sœur, tu étais le plus câlin d’entre eux et ne ratait jamais ta chance de recevoir de l’affection de la part d’un humain. Le confort de la maison, la chaleur du foyer et l’amour de tes maitres tu as connu pendant toute ton enfance. Frères et sœurs ce sont rapidement fait adopté, ne t’inquiète pas tu n’as rien à leur reprocher.  Deux avait plus de fourrure que toi, normal que les humains les apprécies d’avantage. Quant aux autres, leur jolie crête sur leur tête y est surement pour quelque chose. Tu es parti tard, mais la dame qui ta recueillis à veiller à ta bonne éducation. Elle ta aussi donner un nom, un nom qui t’appartiens! Aston, tu as adoré la manière dont elle la prononcer. Ce son est doux à tes oreilles, tu l’oublieras s’en doute jamais. Comme la plus part des tours qu’elle ta apprise.  Assis, couché, donne la patte, roule et fait le beau tu as appris sans difficulté. Ton esprit vif et ton envie d’apprendre fait de toi un excellant compagnon.  En plus, tu es facile à vivre, quel joie!

Malheureusement, comme tout être vivant, en vieillissant notre santé se détériore. La dame, bien que malade, a pensé à t’offrir en cadeau. Ta joie de vivre allait redonner le sourire à cette jeune femme, elle en était convaincue! Elle avait aussi raison! Tu n’es peut-être pas le plus beau des chiens avec ta peau douce et chaude, mais n’y voit pas d’inconvénient à ne pas avoir de poile. Tu es un super toutou, un  chien-docteur comme on vous appel dans ton pays d’origine. Tu es aussi pratique pour les personnes aient des allergies aux poiles. C’est le cas de ta nouvelle maîtresse, elle a souvent été blessé par des gens méchants, seule elle perd aussi sa meilleur ami qui était cette dame.  Tu as du faire tes adieu à cette dame, partir en avion et parcourir une large distance pour mettre les pattes sur un nouveau territoire, découvrir ta nouvelle maison. La jeune femme ta adoré du premier regard, elle ta serrer dans ses bras. Tu es le premier animal qu’elle puisse offrir un câlin! Ta peau chaude la réconforte beaucoup, ton côté affectueux est le meilleur remède pour cette femme. Rapidement, tu la compris pourquoi elle avait besoin de toi. Tu es son bonheur, sa perle précieuse. Son étoile! Entre les périodes de câlin, de photo ensemble qu’elle partage sur le net et montre à ses amis, les joyeuses balades sous le soleil ou dans la neige, habillé de ton nouveau manteau. Toute cette joie et cette positivité, ce cache un monstre effrayant que tu n’avais pas vu encore chez l’homme. Elle cache un sombre passé, dressant le monstre avec des médicaments.

Elle hurle, crie, agit violemment lorsqu’elle ne va pas…Et plus le temps avance, plus rien ne vas. Tu es un bon chien, ne t’en fait pas. Tu fini toujours par réussir à la faire sentir spécial, peut-être même que c’est toi qui l’aide et la supporte le plus dans ses moment difficile.

Ou c’est cet homme qui la aider. Derrière un écran, sur son téléphone. Lorsque tu la vue pour la première fois, son regard ta parut froid. Il ne ta pas aimer, même s’il a essayé de le cacher. Toi tu le sais, mais comment aurait tu plus lui dire à elle? Les deux s’entre lance dans l’appartement peut-être trop petit pour les trois. Toi, tu t’en fiche. Ce n’est pas l’espace qui te manquait, suffit d’un coin avec un cousin et ton jouet préférer pour te sentir chez toi. Mais lui…Lui trouvait que tu en prenait trop dans sa nouvelle vie. Il n’était pas encore emménager et il prend beaucoup plus de place que toi. Tes balades en ville ce font de plus en plus rare, tu passes de plus en plus de temps dans l’appartement tout seul. Elle revient de plus en plus tard. Tu perdais même un peu le fil du temps, les lumières de l’appartement son souvent éteinte. Tu te sentais seul. Ce n’est pas faute d’avoir essayé d’avoir de l’attention, mais elle te grondait chaque fois. Tu es un bon chien, ne t’en fais pas….

Ne t’en fais pas…

Son copain emménage finalement. Tout semble redevenir comme avant, ton eau est plus fraiche et les balades étaient de retour! Plus courtes, mais présente!  Lui par contre, il ne t’appréciait pas du tout.  Détestant te voir renifler son sac de sport. Tu n’as plus le droit de monter dans le lit et pas question d’être sur le divan lorsque tu étais seul avec lui. Quand elle est là, il te tolère, dès qu’elle part travailler, il agissait différemment avec toi.  Tasse toi par contre, ne te met pas dans son chemin. L’appartement était petit, et toi de tes 54 centimètres tu prends de la place. Tu es sur son territoire désormais et plus les jours passe, plus tu comprends que cet homme ne t’aimera jamais. D’ailleurs, il ne prenait pas le temps d’écouter des demandes.  Tu demandais la porte en avance pour pouvoir te soulager.  Lorsqu’elle n’était pas là, tu patientais des heures avant d’avoir accès à la cours pour faire tes besoins. Ta vessie te faisait mal cette journée-là. Elle partit tôt, oubliant de te sortir et lui…Lui…

Il s’en fichait.

Lorsqu’il avait aperçu le dégât au sol. Alors que tu savais bien que c’était mal. Cette douleur sur ton arrière train ta fait gémir. Les tapes tu connaissais, mais pas de cette manière violente. Tu t’es caché honteux, jusqu’au retour de celle qui t’appelais mon étoile. Étrangement, à son retour. Elle était fâchée, contre toi. Pourquoi? Tu n’avais pas fait exprès, cet homme ta blâmer sans comprendre tes besoin. Elle la crut, sur parole. Elle ta grondé et pour ça, tu n’as pas plus allé te baladé. Ta frustration était compréhensible, tu n’es pas un mauvais chien. Tu devais t’acharné sur tes jouets, ton manque de stimulation est lourde pour toi. Tu te sentais honteux à cause de cet homme. Parfois, il t’oublie pendant des heures à l’extérieur.  Tu tolère bien la chaleur, mais sans eau c’est parfois pénible. L’hiver, sans manteau, tu risquais chaque fois l’hypothermie…À force d’encaisser les excès de colère chaque fois que l’homme ‘’t’oubliait’’ en refusant de te sortir ou te lançais des objets pour te faire taire de tes plaintes, le suppliant de te laisser sortir faire tes besoins.  Tu fini troublé, tu te soumets dès qu’il passait près de toi. Par peur qu’il te frappe sans raison. Les tapes sur la tête tu connais, les tapes sur l’arrière-train, les coups de pieds et le hurlement dans tes oreilles. Tu es cependant fait fort,  tu le devais pour elle. Tu ne pourrais pas lui causé d’avantage de soucis n’est-ce pas? Tu es bon Aston…Un bon chien

Malheureusement, on ne pouvait pas te faire subir ça encore plus longtemps. Ça faisait bientôt 1 an et demi que cela durait. C’est assez, ça suffit tu as dit!

Son avant-bras, tu la saisis avant qu’il ne te touche une seconde fois. Tes crocs on transpercé ses muscles, tu as senti son os ce heurté contre elles. Tu n’as peut-être pas toute tes crocs, mais elles sont toujours là lorsque tu as besoin de faire passer un message clair. Assez! Tu en avais assez!  Il avait tiré son bras vers lui, tu t’étais accrocher de toute tes forces en le retenant. Scrutant son visage alors que son sang ce déversait dans ta gueule. Ce goût, spécial tu t’en rappelleras longtemps. Il ta frapper une seconde fois en hurlant. Son visage était fou, ses gestes étaient monstrueux. Tu étais parti te cacher suite à ça, effrayé. Tu le sais que c’était mal. Tu le sais. Mais ne t’en fais pas, Aston. Tu restes un bon chien…Un bon chien.

Cette période était devenu très noir pour toi, t’es idée son flou, tu as perdu un peu la tête. Tu te souviens néanmoins de la douce, mais craintive caresse qu’elle te donnait encore parfois. Le soir alors que vous étiez toute les deux. Elle pleurait, te murmurais de douce parole dans tes large oreilles.  Tu adorais qu’elle te les masses, ça faisait si longtemps qu’elle l’avait pas fait…Mais, elle ne le fera pas plus maintenant. Quelques jours après l’incident. Elle te force à aller faire une balade, tu es piteux, tu n’as pas l’envie parce que tu sais qu’elle est fâcher. Une balade en voiture, les paysages était tout nouveaux pour toi.  Hors de la voiture, la balade fut courte, mais agréable. Jusqu’à ce qu’elle s’arrêtait près d’un banc du parc ou vous étiez. Elle y attache ta laisse et te fit dos. Avant de repartir. Marchant loin, à l’horizon…

Elle partit loin…Très loin…

Tu attends, scrutant l’horizon. Le ciel bleu passe de l’orangé, au mauve…Puis au bleu sombre. Tu observes les étoiles seul. Attendant toujours qu’elle revient te chercher. Parce qu’elle allait le faire non? Tu croyais qu’elle t’aimait. Elle te la mainte fois dite…Tu es mon étoile Aston, ma source de bonheur. Grosse oreille de chauve-souris, mon petit ratatiné! Mon meilleur ami, mon confident sur quatre pattes.  Je t’aime, je t’aime, je t’aime…

C’est parole te sonne comme un lointain écho.  Seul les paroles plus récente revenait sans arrêt : Putains de chien, chien de merde, foutu animal, crétin, imbécile, sac à merde, ta gueule, tu m’énerve, crève bon sang!

C’est parole te faisait croire de plus en plus que tu étais un mauvais chien.

La nuit a été longue…La journée d’après aussi…Tu avais décidé de ronger ta laisse finalement, et une fois libérer tu as essayé de retrouver ton chez toi. Ton ventre est creux, ta gorge est sèche. Tu avais plus t’abreuvoir dans une flaque d’eau dans le fausset en bord de route. Tu avais ensuite continué ton chemin, guidé par ta truffe qui cherchait de la nourriture. Tu es tombé sur des habitations, les humains pourront t’aider. Tu as donc aboyé et gratté à la porte jusqu’à ce que celle-ci s’ouvre. Tu leur as offert ton plus beau sourire. Malheureusement, les gens qui ont ouvert la porte n’étaient pas ceux que tu croyais. Ils t’ont traité de hideux, avant de te repousser d’un coup de pied, encore ils te hurlaient dessus de partir. Tu as donc fuis aveuglément,  quelque heures, le temps de comprendre ce qui venait de ce passé. Tu croyais qu’il était au courant de ton mauvais comportement? Ne t’en fais pas, Aston. Les humains sont parfois méchant, mais il y’en a des bons ….Tu étais perdu, sans toit, sans famille, sans amour…Sans espoir. La faim te faisait souffrir, tu as suivi ton odorat. Te dictant ou aller, mais chaque fois que tu fourrais ton nez là où tu croyais être chez toi. L’humain te repoussait méchamment.  On te regardait étrangement, là où tu passais. Les enfants n’avaient pas envie de jouer avec toi et les adultes te trouvaient répugnant. Tu n’as peut-être pas de poile, mais un chien trempé et sale reste un animal dégoutant aux yeux des hommes. Ils sont ainsi. Tu as rôdé, ton collier humide et salit pas le temps.  Tu as connu l’orage, la rue dans de mauvaise condition, mangé pour la première fois des rebus, tu as vécu l’enfer. Pourquoi t’avais t’elle jeté ici, tu le seras peut-être jamais. Pourquoi elle ta offert cet enfer, alors que toi tu lui avais offert ton cœur?  Je ne serai te répondre…

Mais Aston, essai de ne pas oublier à quel point était un bon chien…

Les jours ce ressemblait, jusqu’à ce que deux individus, armé de filet et d’une perche essais de s’approcher de toi. Qu’y a-t-il de plus dangereux qu’un chien agressif? Un chien craintif…Tu avais fait ce que tu croyais être bon. Tu as montré tes crocs, tu as grogné.  Ils ont essayé de t’amadoué, de t’offrir à manger et à boire. Tu as saisis l’occasion, mais tu étais craintif…Tu espérais ne pas te faire prendre dans leur piège, mais tu étais trop faible pour réagir avec vivacité. Au lieu de mordre son bras, comme la dernière fois, tes crocs ce son heurté à un métal froid. La corde s’enroulait autours de ton cou, tu étais pris au piège. Tu as été mise en cage, une cage froide, sans draps. C’est gens son gentil, mais tu n’osais pas le croire. Comment les croire? Les visages humains te parait désormais tous les mêmes : emplie de haine, de colère. Leur parole douce et mielleuse sonne à tes oreilles la berce d’un monstre caché.  Tu as voyage, on ta mise dans un centre. Chaque main s’approchant de toi, tu voulais les mordre. On ta crut agressif de nature, ils t’on donc encore transférer. Et encore tu tes débattu avec toutes les forces que tu avais repris. Aston, tu te fais plus de mal que de bien. On ne peut cependant pas t’en vouloir, les circonstances de ta vie ton pousser à agir autrement.  C’est ainsi que tu débarque dans ce nouveau centre. Il parait qu’ils seront capable de guérir ton comportement, qu’ils sont capable de gérer qui tu es devenu. On prononce ton nom, qui te semble souiller par la parole humaine.

L’odeur de d’autre chien ce fait sentir, l’écho de jappement lointain. Des amis canins, ils pourront te protéger si besoin.

Les gens de ce centre perçoivent cependant la réalité de ta vie. Tu n’es pas un chien agressif, mais un craintif hyper anxieux. Ils ton laisser souffler un peu lorsque tu as été aménagé dans ton nouvel enclos. C’est un homme qui était venu remplir tes deux gamelles. Il s’était assis et à longuement discuté avec toi. Il avait essayé de t’appâté avec des friandises, mais tu as préféré l’ignorer. Tu lui as donné l’occasion de te laisser approcher une seul fois : c’est là qu’il plus défaire ton collier de l’ancien centre ainsi que la laisse. Il avait cependant insisté pour en mettre un nouveau et tu n’avais pas vraiment apprécié. Tu avais essayé de le mordre, il fut cependant plus rapide. Au lieu de te grondé, il ne fit rien et se contente de sourire.

Les jours qui avaient suivi, tu t’es montré curieux envers les autres chiens qui passaient devant ton enclos. Tu avais aussi fait la connaissance d’un autre homme. Plus jeunes, enthousiasme et énergique. Il semblait curieux de te connaitre, il l’es probablement encore à l’heure actuel.  Il essais toujours de sympathisé avec toi, il travaille fort et suit tous les conseils de l’autre homme. Tu ne lui fais toujours pas confiance, mais ça viendra surement…

Ce sera ta nouvelle vie, Aston. Désormais, fait de ton mieux pour guérir de tes maux.