La vie est une comédie en trois actes: Tu nais, tu joues, tu meurs.

Sultan marchait tranquillement au milieux des brebis qui broutait sans lui jeter le moindre coup d’œil,  le temps était clairs et il faisait bon, le mâle savait que ça augmenter les chances de tomber sur des promeneurs et leurs chiens. Le doberman redoublait donc de vigilance, ces maîtres était chez eux donc comme a son habitude il travaillait en autonomie, cela ne le dérangeait plus depuis longtemps. Après tout la compagnie des ovins n'était pas si déplaisante finalement.
Le troupeau se reposait calmement dans la montagne, ils étaient proche d'un sentier dans la forêt, ce qui incitait Sultan a rester du coté du sentier, a vrai dire, les hommes était plus dangereux que les animaux sauvage.
Son monde avait changé, avant il était en box jours et nuit, maintenant il était au grand airs H24. Cette vie lui plaisait, il voyait peu de monde canin comme humain, mais la présence de loup posait problème a ces soirée, les chiens errants aussi d'ailleurs, toujours près a éparpiller le troupeau. Rien qu'a penser a ça, Sultan lâcha un grognement qui fit dressé les tête des brebis autour de lui, il remua la queue doucement pour leur signifier que tout aller bien et elles reprirent leur repas. Le mâle s'éloigna finalement du troupeau sans pour autant perdre de vue la nuageuse silhouette de ces compagnes, une odeurs de chien l'interpellait. Il se posta face aux effluves canines et attendit que le cabot sorte de l'hombre.